Luc Berthold se réjouit de l’adoption du plan d’aide fédéral
(Thetford Mines, le 24 mars 2020) – Le député de Mégantic-L’Érable et ministre du cabinet fantôme pour l’Infrastructure et les Collectivités, Luc Berthold, se réjouit que le Plan d’intervention économique du Canada pour répondre à la COVID-19 ait été adopté, dans la nuit de mardi à mercredi, à la Chambre des communes.
« Nous venons de franchir un pas important dans la mise en place de ces mesures d’aide. Il est essentiel que la population et nos entreprises reçoivent un soutien fédéral le plus rapidement possible », a souligné [NOM, le député/la députée] de [CIRCONSCRIPTION].
Parmi les mesures adoptées :
- Mise sur pied de la Prestation canadienne d’urgence, qui remplacera l’allocation de soins d’urgence et l’allocation de soutien d’urgence annoncées la semaine dernière. Cette nouvelle mesure accordera 2000$ par mois pour 4 mois et sera disponible pour les travailleurs admissibles.
- Rehaussement du crédit pour la taxe sur les produits et services (TPS).
- Augmentation de l’Allocation canadienne pour enfants (ACE) de 300 $ par enfant.
- Mise en place d’une subvention égale à 10 % de la rémunération versée pendant cette période, jusqu’à concurrence d’une subvention maximale de 1 375 $ par employé et de 25 000 $ par employeur.
« Le Plan compte plusieurs autres mesures. Dès qu’elles seront mises en place officiellement, je m’assurerai de partager l’information. Il est important de transmettre la bonne information le plus rapidement possible afin que vous puissiez obtenir l’aide dont vous avez droit », a poursuivi [NOM, le député/la députée] de [CIRCONSCRIPTION].
Absence remarquée d’Yves-François Blanchet
Alors que le chef des conservateurs et le chef des néodémocrates, accompagnés de leurs députés, passaient la nuit à la chambre pour adopter les mesures législatives visant à venir en aide aux Canadiens, le chef du Bloc Québécois, M. Yves-François Blanchet, lui était absent.
« Yves-François Blanchet aime bien se présenter comme le défenseur du Québec mais hier il était absent de la chambre pour adopter des mesures d’urgence pour les Québécois. Il avait également raté le deuxième tour des négociations durant la journée. Pour moi, travailler pour les Québécois, ça ne se fait pas seulement devant les caméras et son absence en chambre est déplorable », a tenu à mentionner [NOM, le député/la députée] de [CIRCONSCRIPTION].